Samir commence très tôt à danser au pied des tours de sa cité, Vénissieux à Lyon en France. En tant que danseur de la compagnie Traction Avant, il parcourt la France, anime des stages de breakdance et participe à des séries ainsi qu'à des court métrages.

Premier danseur de break à recevoir la bourse Lavoisier du ministère des Affaires Étrangères, Samir s'installe à New York de 1990 à 1992 pour étudier la danse contemporaine à l'école de Merce Cunningham.  Il devient également le premier français auditionné par Mr. Cunningham et le seul à avoir l'honneur d’être sélectionné par la prestigieuse compagnie américaine en 1993. Ensuite, il choisit de rester quelques années de plus dans sa ville d’adoption pour affiner sa démarche, se rencontrer, se découvrir et trouver sa subjectivité artistique.

Marqué par son expérience à New York, en 1995 Samir retourne en France et fonde la Compagnie MSH. Avec une gestuelle innovante qui fusionne hip-hop, capoeira et danse contemporaine, il ne cesse de repousser les limites artistiques. Il donne ainsi vie à ce qu'il nomme « la pensée métisse » et crée le concept de « l’écriture des émotions », le cœur et l'âme de sa danse.

Il est subventionné par le ministère de la Culture et Samir se produit sur les plus grandes scènes nationales et européennes. Une fois de plus, c’est le numéro un du hip-hop, en se produisant sur des scènes prestigieuses. Il ouvre ainsi les portes aux générations suivantes qui se produisent aujourd’hui sur les mêmes scènes légendaires.

En l'an 2000, au sommet de sa carrière, il décide de prendre une pause de 15 ans pour se plonger dans l'exploration profonde de l'univers intérieur de l'être humain.

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Sur le plan physique, il entreprend des recherches scientifiques en ostéopathie, où il consacre six années d'études pour obtenir son diplôme. Il complète son cursus en quatre ans et devient diplômé en médecine chinoise et en acupuncture. Passionné par le mouvement, il s'investit dans l'étude de la biomécanique du corps en mouvement à travers ses recherches chorégraphiques.

Sur le plan psychique, il se forme à l'hypnose, obtenant son diplôme en 2017. Poussé par une soif insatiable de connaissance, il se lance également dans l'étude des neurosciences, un domaine vaste et fascinant qui continue de nourrir sa soif de connaissance.

Ainsi la psychosomatique, l’anatomie, la physiologie, l’énergie et l’art ont donné naissance à un talent qui se rapproche d’un métier qu’il baptisera psychobiologue H360. Ce métier reflète la symbiose entre la communication du corps, de l’âme et de l’esprit.